Je vous avais promis de vous faire un point NaNoWriMo 2017 par semaine. Aujourd’hui, je vais donc râler parce que je suis en retard.

Statistiques de la première semaine du NaNoWriMo 2017

Je n’ai pas ajouté mes mots du jour (pour l’instant ça n’améliorerait pas vraiment la situation). Voici donc ce que disent les statistiques du site :

Hier soir, je m’étais arrêtée à 8 577 mots.

Je crois que je n’ai jamais eu un aussi mauvais départ pour ce défi. Cela m’attriste un peu, et je commence à stresser (ce qui fait qu’on m’a déjà dit que je me mettais trop la pression et que je devrais abandonner).

Comment gérer un départ moyen qui n’augure rien de bon ?

Plusieurs soucis se présentent à moi.

Le premier c’est que j’ai eu beaucoup de choses à faire depuis le début du mois d’octobre (dont je ne me suis pas remise). Et que cela continue. Je n’ai pas passé un jour tranquille chez moi sans rien faire depuis une éternité. Et si j’ai envie de ne rien faire, je culpabilise parce que ce temps de loisirs n’est pas un temps d’écriture.

La fatigue s’accumule. Je dors énormément. Et là encore, je culpabilise parce que si je dors, je n’écris pas. Et quand je me retiens de dormir pour écrire, je n’écris pas grand-chose et je somnole devant mon écran.

Du coup, j’ai du retard et je ne sais pas si je vais réussir à le rattraper. J’ai surtout peur qu’il se creuse et que la situation devienne ingérable pour moi. Mais je ne sais ni abandonner quelque chose qui ne fonctionne pas, ni me dire que ce n’est pas grave si je n’arrive pas au bout (alors que je le répète à tout le monde, n’oubliez jamais de faire ce que je dis et pas ce que je fais).

Peut-être qu’aller à des rendez-vous d’écriture m’aiderait, mais j’ai peur que ça me fatigue davantage. Et j’ai énormément de mal à discuter avec les participants quand ils sont beaucoup plus en avance que moi. C’est dire comme ça m’énerve de ne pas avancer !

Nous verrons bien où j’en serai dans une semaine. Espérons que mon humeur sera moins maussade.