« Le gisement vert » est une nouvelle écrite en septembre 2013. A l’époque, c’était la première nouvelle que j’écrivais depuis plusieurs années.

J’avais décidé de participer à un appel à textes et je m’étais lancée dans une histoire en ayant pour objectif de me changer les idées de ma trilogie. Il faut avouer aussi que c’était la première fois que j’écrivais après avoir la perte d’un être cher.

La nouvelle terminée, je l’avais envoyée pour l’appel à textes, auquel je n’eus jamais de réponse. Le texte a pris la poussière dans mes dossiers. A chaque fois que je l’ai ouvert, j’en ai changé des éléments. Et je me suis un jour fait la réflexion qu’il perdait son sens initial au fur et à mesure, tout en gagnant d’autres intérêts.

Si je partage cette nouvelle avec vous aujourd’hui, c’est parce que je trouve cela important de regarder en arrière et de voir les progrès qui ont été faits. Elle correspond à un état d’esprit particulier, probablement un peu triste. Mais « Le gisement vert » est un élan : après avoir rédigé cette nouvelle, j’en ai écrit une autre, puis je me suis remise à mon roman que j’avais délaissé durant le début de mon deuil.

Cette nouvelle a été retravaillée plusieurs fois. Elle a eu pas moins de quatre fins différentes, la toute dernière (celle que je vous laisse découvrir) date du 13 mars 2015.

Mais de quoi parle-t-elle ?

C’est l’histoire de Peter Holt, gérant d’un General Store à Tombstone, durant la Conquête de l’Ouest. Un beau jour, son ami Drew vient le voir. Il a fait une fabuleuse découverte : il est tombé sur un filon d’un minerai inconnu, qui luit d’une étrange lueur verte. Malheureusement, Drew casse ses pioches contre ce minerai. Vexé qu’on remette en cause la qualité des outils qu’il vend dans sa boutique, Peter décide d’aller voir ce qu’il en est.

Et voici la nouvelle !

« Le gisement vert » est aussi sur Wattpad !

J’en profite pour remercier Laurence qui m’avait aidée à la correction des premières versions.

Je vous souhaite une bonne lecture !

Crédit photo : la photo de couverture est de Fré Sonneveld.